Il s’agirait d’un plan, d’un parcours obligé dans une ville inconnue aux ivresses juxtaposées. Il s’agirait d’aller et venir entre deux rives aux limites mouvantes, dans des rues indécises, et des venelles frémissantes. Il faudrait, pour y accéder, un code, et, pour en sortir, l’incantation psalmodiée d’une moniale amnésique. La clé de la ville serait perdue dans la chevelure d’un fleuve. Aux tréfonds d’un chapeau.
Comment taire ? Comment faire ?
Plus porté sur la trace que sur l’impression, ce dessin est à double sens : l’un proche de la mousse accroché au tuffeau d’une berge, l’autre un légume endormi dont le visage regarde, les yeux fermés, vers le bas, un paysage vallonné de dentelles. Le chapeau fixe droit l’objectif, cou dressé comme une pintade pusillanime, bajoues sous les yeux absents.
A l’envers, on saisi qu’il s’agit d’une flaque d’essence enflammée.
C’est une psyché délétère sur une pochette originale de Jimi Hendrix.
L’odeur est humecté et la brisure impossible tellement l’humidité à transpiré la matière. On ne sait plus à quel bain se souiller. Étreindre une telle femme revient à tordre une éponge. Peut-être même perçois-je un soupçon d’odeur de vinaigre…
Peut-être il manque une croix quelque part.
un visage caché sur l’arrière d’un autre visage et les 2 forment un personnage triste
déchiré dont la parole n’est pas ou mal entendue
alors qu’il en émerge une superbe
richesse
étrange, visage aux formes perdues, un seul œil il vous regarde et … des formes décalées … la poitrine absente, aplatie dans un buste par ailleurs bien dessiné. Personnage erratique … on est loin de l’original mais leportrait de l’artiste n’est-il pas un auto-portrait, donc pas un portrait de Sigrid ?
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Quiet Transcendence. She leaves her body to rise above our universe, this material existence.
Il s’agirait d’un plan, d’un parcours obligé dans une ville inconnue aux ivresses juxtaposées. Il s’agirait d’aller et venir entre deux rives aux limites mouvantes, dans des rues indécises, et des venelles frémissantes. Il faudrait, pour y accéder, un code, et, pour en sortir, l’incantation psalmodiée d’une moniale amnésique. La clé de la ville serait perdue dans la chevelure d’un fleuve. Aux tréfonds d’un chapeau.
Portait décalé
Aux visages superposés
Portrait chapeauté
Aux formes dentelées
Portrait indéterminé
Etrangeté… Ambiguïté… Perplexité…
Comment taire ? Comment faire ?
Plus porté sur la trace que sur l’impression, ce dessin est à double sens : l’un proche de la mousse accroché au tuffeau d’une berge, l’autre un légume endormi dont le visage regarde, les yeux fermés, vers le bas, un paysage vallonné de dentelles. Le chapeau fixe droit l’objectif, cou dressé comme une pintade pusillanime, bajoues sous les yeux absents.
A l’envers, on saisi qu’il s’agit d’une flaque d’essence enflammée.
C’est une psyché délétère sur une pochette originale de Jimi Hendrix.
L’odeur est humecté et la brisure impossible tellement l’humidité à transpiré la matière. On ne sait plus à quel bain se souiller. Étreindre une telle femme revient à tordre une éponge. Peut-être même perçois-je un soupçon d’odeur de vinaigre…
Peut-être il manque une croix quelque part.
un visage caché sur l’arrière d’un autre visage et les 2 forment un personnage triste
déchiré dont la parole n’est pas ou mal entendue
alors qu’il en émerge une superbe
richesse
étrange, visage aux formes perdues, un seul œil il vous regarde et … des formes décalées … la poitrine absente, aplatie dans un buste par ailleurs bien dessiné. Personnage erratique … on est loin de l’original mais leportrait de l’artiste n’est-il pas un auto-portrait, donc pas un portrait de Sigrid ?