Chacun des dessins que je regarde fait émerger un souvenir ou me rappelle un événement en rapport avec mon parcours d’artiste
Dans la série évocation : je regarde et laisse surgir ce qui veut advenir. Ici, un souvenir d’ il y a 250 ans en arrière quand avec un ami du lycée, on passait nos mercredis au bar le Jean-Jacques, rue Rousseau à tenter de nous transmettre des images par la pensée. On était tout fous quand on réussissait à s’approcher même vaguement de la forme projetée par l’autre. Je réalise aujourd’hui, en explorant à ce souvenir qu’à fait émerger ce portrait réalisé par Alain Livache, que c’était alors déjà un face à face, mais que nous étions deux à fermer les yeux. Cet ami que je n’ai pas revu, je sais juste qu’il est devenu océanographe.
Yeux clos au café
on tentait des heures durant
la télépathie
portrait dévoilé n°1 (AL) :
Chaque matin, tandis que la reine se coiffait, elle lui demandait :
Miroir, miroir en bois d’ébène, dis-moi, dis-moi que je suis la plus belle. Et, invariablement, le miroir répondait :
En cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi.
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Une image féminine sage et souriante, mais qui suis je? Quel feu sommeille en moi, quel cri , quel chant sortirai de ma bouche avenante?
Les commentaires concernant ce dessin sont mis en page ici et les originaux sont sur cette page : http://portrait-du-visiteur-en-createur.com/le-visiteur-critique-d-art/ (portrait 1)
Le journal inexistant.
Chacun des dessins que je regarde fait émerger un souvenir ou me rappelle un événement en rapport avec mon parcours d’artiste
Dans la série évocation : je regarde et laisse surgir ce qui veut advenir. Ici, un souvenir d’ il y a 250 ans en arrière quand avec un ami du lycée, on passait nos mercredis au bar le Jean-Jacques, rue Rousseau à tenter de nous transmettre des images par la pensée. On était tout fous quand on réussissait à s’approcher même vaguement de la forme projetée par l’autre. Je réalise aujourd’hui, en explorant à ce souvenir qu’à fait émerger ce portrait réalisé par Alain Livache, que c’était alors déjà un face à face, mais que nous étions deux à fermer les yeux. Cet ami que je n’ai pas revu, je sais juste qu’il est devenu océanographe.
Yeux clos au café
on tentait des heures durant
la télépathie
portrait dévoilé n°1 (AL) :
Chaque matin, tandis que la reine se coiffait, elle lui demandait :
Miroir, miroir en bois d’ébène, dis-moi, dis-moi que je suis la plus belle. Et, invariablement, le miroir répondait :
En cherchant à la ronde, dans tout le vaste monde, on ne trouve pas plus belle que toi.
« A quelle effrayante distance nous sommes de nous-mêmes. Comment nous rejoindre jamais ? » Louis Calaferte