Un lemniscate sans double foyer s’échappe comme un serpent pour s’enfuir sur la page. Il paraphe une tête qui fait penser à un vénérable.
Est-ce S. Gride cette chauve qui peut ?
Pour qui sont ces bacchantes pendant(es) comme deux bras qui cherchent à s’enf(o)uir ? Sont-ce les songes d’une arachnée sortant du rêve sous marin d’un tuyau ? Quelle gant invisible tient ce face à main d’un autre âge, ces binocles de chauve velu ? A-t-on jamais deviné ces capillaires gras long, cette petite tête athlète par laquelle doit passer la course d’idées fantasques et saugrenues ? On en devine deux comme deux mouches attirées par le sucre. Mais le savant, tel le sigillographe d’ autocar, les contemple avec l’intérêt qu’on porte à la cire des sots anciens.
Ce que l’on peut dire, c’est qu’il se passe toujours quelque chose au pays des images. Ici, le serpent attaque l’araignée. Mais ce serpent n’est peut-être après tout qu’un fil lancé vers nous ; un rêt futur pour capturer notre attention danger.
Nous serions alors l’œil qui fait mouche.
Je vois un petit cocker le nez en l’air
brrrrrouppp une petite trainée de poudre
pour que la magie opère
et que ce petit animal les yeux dans les étoiles
s’incarne en rire et en pirouettes !!!!
Au bout du chemin tortueux -analyse ou corde à noeuds-
Une petite fille éclaire -électrolyse-
en larmes de quinquets
Nattes dénouées
On ne voit plus rien de ce visage éteint
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De quel cri ce sonagramme? est ce l’effroi anticipé devant le futur portrait à l’aveugle de cet être qui se dresse sur ses bras la gueule ouverte?
Un lemniscate sans double foyer s’échappe comme un serpent pour s’enfuir sur la page. Il paraphe une tête qui fait penser à un vénérable.
Est-ce S. Gride cette chauve qui peut ?
Pour qui sont ces bacchantes pendant(es) comme deux bras qui cherchent à s’enf(o)uir ? Sont-ce les songes d’une arachnée sortant du rêve sous marin d’un tuyau ? Quelle gant invisible tient ce face à main d’un autre âge, ces binocles de chauve velu ? A-t-on jamais deviné ces capillaires gras long, cette petite tête athlète par laquelle doit passer la course d’idées fantasques et saugrenues ? On en devine deux comme deux mouches attirées par le sucre. Mais le savant, tel le sigillographe d’ autocar, les contemple avec l’intérêt qu’on porte à la cire des sots anciens.
Ce que l’on peut dire, c’est qu’il se passe toujours quelque chose au pays des images. Ici, le serpent attaque l’araignée. Mais ce serpent n’est peut-être après tout qu’un fil lancé vers nous ; un rêt futur pour capturer notre attention danger.
Nous serions alors l’œil qui fait mouche.
Je vois un petit cocker le nez en l’air
brrrrrouppp une petite trainée de poudre
pour que la magie opère
et que ce petit animal les yeux dans les étoiles
s’incarne en rire et en pirouettes !!!!
ça c’est du trait! j’ai trouvé le visage caché derrière la trompe! Sigrid devait avoir les abeilles ce jour là….
Au bout du chemin tortueux -analyse ou corde à noeuds-
Une petite fille éclaire -électrolyse-
en larmes de quinquets
Nattes dénouées
On ne voit plus rien de ce visage éteint
un point d’interrogation
la route défile et zigzag
vers qu ‘elle destination
nous conduit elle?
vers un visage
en point d’ interrogation