Portrait à dévoiler n°21
Ce portrait a été révélé ! Rendez-vous ICI pour le découvrir.
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… si vous voulez voir les dessins mis à la une, regroupés, et uniquement eux, c’est par ici : les dessins mis à la une
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…. je me sens changeante.
Je cherche quelqu’un qui ferait mon portrait robot uniquement d’après tous les dessins Serial Portraits faits de moi.
Le connaissez-vous ?
En attendant, si vous voulez voir les dessins regroupés et uniquement eux, c’est par ici : dessins mis à la une
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Dans la vie, je suis loin d’avancer en ligne droite, ni rapidement. Pour autant, c’est ce que je fais… sauf que mes lignes droites sont différentes de celles des autres. Comme tout le monde d’ailleurs. Le paradoxe étant le pain quotidien de l’humain, je considère la question de la ligne droite comme essentielle, à la manière dont je l’ai ressenti dans le film Stalker, de Tarkovski. Ce film m’avait laissé l’idée forte de la nécessité, pour traverser une zone dangereuse, de lancer un bilboquet avec force, au loin, puis de marcher droit vers son point de chute, surtout sans dévier. Car planait le danger, un danger flou mais puissamment présent.
Or, le cheminement en zone dangereuse étant ce qu’il est à savoir semé d’embûches, malgré les avertissements et les précautions prises, les déviations interviennent fatalement … fatalement ? Non ! Car, de fait, l’on passe peu à peu, au fil des pas de travers, de la certitude qu’une grosse catastrophe va arriver, au constat que rien de dramatique n’arrive, qu’on avance quand même, l’essentiel étant d’arriver là où on avait prévu… ne serait-ce que pour récupérer le bilboquet et pouvoir le relancer.
Ce dessin de Gabriel Soucheyre m’évoque ce chemin en ligne droite autorisant, et même nécessitant, les petits pas de côté pour mieux trouver sa route. Le bilboquet, c’est l’oeil : le regard lorsqu’il se projette représente notre filtre pour voir le monde, notre manière de voir le monde le recrée à notre mesure. Création.
Le regard lancé,
le corps suit la ligne tracée :
tout droit, déviations comprises
Sigrid Coggins 22 juillet 2013
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« The process was like a confrontation with my sense of control. It revealed, to me, the tactics I use when this happens – I squirm, I try to smile my way out of the situation, I make a small show of my discomfort to put people around me at ease.
Voir son Serial Portrait accompagné des commentaires des visiteurs : ici !
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Sergej Belov à propos de son expérience de Serial Portraits : à lire ici !
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